Les enfants abandonnés à leur naissance sont particulièrement vulnérables. Dès la fin du XVIIIe siècle, un soin spécifique est apporté aux mesures d'assistance destinées à les secourir. L'assistance publique devient ainsi une des grands principes de la République.
Au fil des années, les moyens de lutte contre les maladies se développent, particulièrement auprès du jeune public (vaccins contre la variole, la scarlatine ou encore la tuberculose, etc.). Des instituts spécialisés voient le jour, tournés vers des pathologies affectant durablement les enfants, comme on a pu le voir à Berck dès le XIXe siècle.