Benoît-Joseph Labre est né en 1748 à Amettes. Aîné d’une famille de quinze enfants, son entourage, discernant chez lui une vocation sacerdotale, l’envoie à l’âge de 12 ans chez son oncle, curé d’Érin, pour parfaire son éducation religieuse et préparer l’entrée au séminaire.
Ayant renoncé à la prêtrise, il est, dans un premier temps, refusé par le monastère cistercien de La Trappe et la chartreuse de Neuville-sous-Montreuil. Il prend finalement l’habit religieux en 1769 à l’abbaye de Sept-Fonds (Allier). Il la quitte quand il tombe malade.
Commencent alors sept années d’errance. Benoît-Joseph choisit une vie de mendiant et de pèlerin allant de sanctuaire en sanctuaire. Il parcourt 30 000 km à pied en treize années et donne le produit de ses quêtes aux pauvres. Devenu membre du Tiers-Ordre franciscain, il fait vœu de ne pas se laver par mortification.
Il meurt à Rome en 1783, à l’âge de 35 ans, au domicile du boucher Zaccarelli. La nouvelle de sa mort se répand aux cris "E morto il santo".
Canonisé en 1881, ses reliques reposent principalement à Amettes, à Marçay (Vienne) et à Rome.
BERNARD Philippe
Bien qu'agnostique, j'ai eu une révélation en 2013 à la cathédrale souterraine de Lourdes où son portrait est exposé avec 300 autres saints.
Même chose en 2014.
Depuis j'ai l'impression qu'il guide mes pas tant les coïncidences quasi miraculeuses dont je suis l'objet foisonnent.
Je pars de Toulouse lundi 21 /09/2015 pour aller à Amettes.
Le 16 septembre 2015 à 19h43
de Coantré Léon Marie
Saint Benoît est passé à quelques kilomètres de mon village, à Gémenos, près de la ville d'Aubagne, où l'on peut voir la modeste cabane où il passa quelques jours avant de repartir en direction de Rome je pense.
Le 31 mai 2013 à 19h19